Faïouken ou la vie de la femme kabyle
Lettres de Kabylie Ce texte dépeint la vie quotidienne de la femme kabyle au XIXe siècle. La condition de la
Lire la suiteLettres de Kabylie Ce texte dépeint la vie quotidienne de la femme kabyle au XIXe siècle. La condition de la
Lire la suiteTassadit a eu quatorze ans au printemps de l’Année du Ravin. Elle a vu l’effroyable tuerie. Elle tenait d’une main
Lire la suiteVie et mœurs des villages kabyles, du Djurdjura, dans la seconde partie du XIXe siècle. Le soleil du 1er juin
Lire la suiteBien loin d’être appelés, comme les Arabes, à disparaître et à se fondre dans le reste de la population, les
Lire la suiteC’est un singulier spectacle que celui de cette foule compacte d’indigènes se croisant, affairés, dans tous les sens ; malgré leurs
Lire la suiteAlertes et dangers Ce matin, je suis allé de Blida à Boufarik dans la voiture d’un obligeant colon des environs.
Lire la suiteEn quittant Ménerville, la diligence traverse dans toute sa largeur la belle vallée de l’Iisser, que j’ai remontée hier. Partout,
Lire la suiteFort-National est bâti sur un mamelon que les remparts enveloppent de leur ceinture. Plus des trois quarts de l’espace circonscrit
Lire la suiteJe redescends pour prendre la voiture qui m’emporte à Palestro. La route atteint bientôt la vallée du fleuve, qu’elle ne
Lire la suiteIl faut savoir qu’à sa création Akbou s’appelait Metz. « Lorsqu’on descend la belle vallée du Sahel, Metz apparaît de
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